Prix d’une liposuccion

Prix d'une liposuccion

Le prix d’une intervention de liposuccion varie selon la ou les zones à traiter. Pour estimer le coût de la liposuccion, une évaluation médicale est nécessaire. Premièrement, le médecin regarde avec vous votre état général de santé . Ensuite, il regarde avec vous si vos objectifs et les résultats espérés sont possibles. Selon l’ampleur du travail à réaliser, selon la quantité de gras à retirer et selon la zone à traiter, le prix sera fixé.

Nous offrons également un plan de financement Medicard qui peut financer une partie ou la totalité de la procédure, selon certaines conditions. Informez-vous auprès de notre service à la clientèle.

Questions fréquemment posées

C’est une intervention par laquelle on aspire les excès de graisse situés juste sous la peau. On la pratique à l’aide d’un mince tube en acier inoxydable appelé canule, laquelle est branchée sur un aspirateur. Son but est de remodeler la silhouette.

Parce qu’elles permettent de faire des incisions plus petites qui ne nécessitent pas de points de suture et qui laissent s’écouler après l’intervention le liquide anesthésique préalablement infiltré. De plus, elles pénètrent mieux le tissu graisseux, assurent des résultats plus précis et sont moins traumatisantes.

Absolument. Il s’agit toutefois d’une anesthésie locale. On peut donc vérifier le résultat immédiatement après l’intervention en examinant la patiente debout. Ainsi, on peut apporter les retouches nécessaires qui donneront un résultat du premier coup. L’anesthésie générale n’a plus sa place dans la liposuccion moderne.

Toutes celles qui contiennent de la graisse sous-cutanée : le menton, la bosse de bison, le dos, les bras, l’abdomen, les flancs, les hanches, les cuisses, les fesses, les mollets, les seins (chez les hommes notamment), etc.

Chez nous, des instructions extrêmement détaillées sont remises avant et après l’intervention. De plus, lors de la rencontre d’évaluation avec le médecin, celui-ci accorde au patient tout le temps nécessaire à sa bonne compréhension. Aussi, le patient peut appeler la responsable ou même le médecin, aussi souvent qu’il le désire, pour poser toutes les questions qui lui viennent à l’esprit. Cette responsable a elle-même subi la liposuccion et peut donner des renseignements et des conseils à partir de sa propre expérience.

La seule chose qui pourrait être désagréable, c’est l’anesthésie. Pour minimiser ce désagrément, on anesthésie d’abord la peau avec une aiguille très fine. Une fois l’épiderme gelé, on peut introduire l’aiguille sans aucune douleur. Et comme la graisse est peu innervée, on peut l’anesthésier à son tour sans trop d’inconfort.

Quant à l’intervention elle-même, elle est indolore puisque la graisse est complètement gelée. Plusieurs patientes ont comparé l’expérience à un massage. Pendant l’opération, on fait la conversation comme si de rien n’était. Après la liposuccion, l’anesthésie locale garde la patiente confortable pour 18 à 24 heures, puis une sensibilité persiste pour une semaine ou deux. Des analgésiques sont alors prescrits.

Évidemment, il faut être en bonne santé pour recourir à la liposuccion. Puisqu’il s’agit d’une intervention purement esthétique, il serait stupide de risquer sa santé pour mieux paraître.

Donc les patientes avec des problèmes de foie ou de reins seront refusées à cause des grosses quantités de médicaments impliqués et qui sont éliminés par ces organes.De même les patientes diabétiques ou celles souffrant de saignements anormaux ou de troubles cardiaques.

Mais les candidates les moins aptes à la liposuccion sont les immatures psychologiques, celles qui ont des attentes irréalistes, qui demandent des garanties absolues, qui veulent revenir à 20 ans, qui espèrent l’impossible, qui ne comprennent ni le but, ni les limites de la liposuccion, qui veulent ressembler à telle ou telle vedette de cinéma. Je me méfie aussi des patientes impolies et irrespectueuses envers mes employées, et qui filent doux devant le médecin, c’est de très mauvais augure.

Toute patiente reçoit une prescription d’antibiotiques pour prévenir toute possibilité d’infection de même qu’un analgésique pour les premiers jours suivant la chirurgie. La veille de l’intervention, un léger calmant assurera une bonne nuit de sommeil.

C’est la dernière chose à faire. Si les tissus graisseux sont vidés de leur graisse, à quoi bon la liposuccion ? Aussi, les tissus sont plus fibreux, le remodelage se fait moins bien, mais surtout, la peau a perdu de son tonus et risque de moins bien se rétracter.

En général, on ne dépasse pas 4 litres par intervention. Mais un liposculpteur expérimenté peut aller jusqu’à 5 litres dans des circonstances qui s’y prêtent et qui sont plutôt rares, par exemple un très gros ventre. Un litre signifie un kilo de graisse.

Surtout pas. La graisse joue un rôle très important et l’enlever complètement amènerait des complications fonctionnelles et esthétiques. Permettez-moi une citation du Dr Pierre Fournier, un des pionniers de la liposuccion : « Ce n’est pas la graisse qu’on enlève, mais celle qui reste qui détermine le succès de la liposuccion. »

N’importe qui pourrait enlever toute la graisse, mais enlever tout ce qu’il faut , et surtout laisser juste ce qu’il faut, c’est là qu’on reconnaît l’excellent liposculpteur. N’en enlever presque pas pour jouer « safe » n’est guère mieux, car le patient sera mécontent et souvent devra faire reprendre l’intervention.

Oui, mais le choix des sites demande beaucoup d’expérience et de discernement de la part du médecin. Il faut aussi considérer l’âge de la personne, son poids, son état de santé, etc. De plus, il y a une limite à la quantité de médicaments nécessaires à une anesthésie locale, ils deviennent toxiques si on dépasse le dosage permis.

Prenons le cas d’une personne de poids moyen en bonne santé. On traite souvent trois sites au cours d’une même intervention, par exemple : la culotte de cheval, les flancs et la partie interne de la cuisse.

Absolument pas. Ce genre d’intervention peut très bien se faire dans une clinique détenant un permis de CMS (clinique médicale spécialisée). On y sera d’ailleurs plus à l’abri des microbes que dans un hôpital.

Non. Cependant, pour optimiser les résultats, bien guérir le traumatisme chirurgical et éviter les complications, il est recommandé de boire beaucoup d’eau et de suivre un régime équilibré : beaucoup de fruits et légumes de même que des protéines (poissons, volaille, etc.) bien sûr sans exagération, car même les bonnes choses deviennent mauvaises quand on exagère.

La plupart consultent après leur maternité, mais il n’y a aucune objection à le faire avant, bien au contraire, la peau et les muscles ne seront que de meilleure qualité, et les résultats encore meilleurs, surtout si la patiente prend un poids excessif lors de ses grossesses.

Bien sûr, si on a beaucoup de sites à faire opérer. Par exemple, le tronc, puis les cuisses, puis les bras et mollets, les fesses, etc. J’ai vu parfois quatre liposuccions chez la même personne.

Étonnamment bas si on considère les bienfaits qu’on en retire. Souvent, c’est le même prix qu’une cure d’amaigrissement, alors que les statistiques vous apprendront que seulement un patient sur vingt gardera son poids. Avec la liposuccion, le résultat demeure.

Pour évaluer le coût, il faut tenir compte du nombre de sites, du poids du patient, mais aussi de l’expérience du chirurgien. Étant donné que les résultats sont durables, pourquoi ne pas opter pour un résultat optimum? Préférez-vous un liposculpteur qui fait deux interventions par mois, ou deux par jour?

Par exemple, mille dollars, ça peut signifier cinq sous par jour à la fin d’une vie. Est-ce trop cher payé pour un résultat à la mesure de vos attentes et qui, ne l’oubliez pas, vous accompagnera toute votre vie.

C’est préférable de s’en abstenir tant qu’il y a des bleus, donc plus ou moins deux semaines, et cela, pour éviter toute possibilité de taches.

Question qui revient tous les jours. Même si on ne peut garantir la disparition de la cellulite, on peut prédire qu’elle s’améliorera presque à coup sûr, car les tissus étant pour ainsi dire moins tendus, ils donneront moins de prise à la peau d’orange.

La liposuccion n’est pas un traitement de l’obésité généralisée, mais plutôt d’une obésité localisée, appelée adiposité. Elle n’a pas pour but de faire perdre du poids, mais plutôt des pouces. Cependant, les personnes souffrant d’une obésité modérée peuvent en bénéficier grandement. Fait à noter, la liposuccion est parfois le point de départ d’une perte de poids naturelle chez les obèses, avec très peu d’effort. On parle alors d’effet « starter ».

Parmi les bienfaits pour l’obèse, on peut affirmer que la liposuccion apporte une amélioration du confort respiratoire, du sommeil et sans contredit, un formidable regain d’espoir et d’énergie.

Non, car on enlève aussi les cellules graisseuses et la graisse ne peut « se fixer » s’il n’y a pas de cellules graisseuses pour la recevoir. Ainsi personne n’engraissera au niveau du front parce qu’il n’y a pas de cellules graisseuses. Il faut ajouter cependant que le peu de cellules graisseuses qu’on doit laisser pour faire un travail esthétique peut se gonfler après la liposuccion, mais jamais au point de reformer l’adiposité qu’on a prélevée. Pour être plus précis, si votre adiposité avait 3 pouces d’épaisseur et qu’on en a laissé ¼ de pouce, il se pourrait, en cas d’engraissement, qu’on se retrouve avec ½ pouce, ce qui est bien loin des 3 pouces précédents.

Parce qu’un régime vide les cellules graisseuses, mais n’en élimine pas une seule. Or la cellule graisseuse (adipocyte) est programmée génétiquement pour se remplir de graisse, c’est son seul but, sa seule raison d’être dans la vie. C’est pourquoi, selon les statistiques, les obèses reprennent du poids dans 95 % des cas. Si on la vide tout simplement, la cellule graisseuse devient pour ainsi dire « déstabilisée »; c’est pourquoi, pour en venir à bout, il faut l’amputer « définitivement », et c’est ce que fait la liposuccion.

Beaucoup mieux qu’après une cure d’amaigrissement. En effet, la canule de liposuccion irrite les tissus sous-cutanés, et cela provoque une réaction importante de cicatrisation qui rétracte la peau : on parle de biostimulation.

Il faut se rappeler que c’est la graisse qui fait pendre la peau et non l’inverse. Une fois la graisse enlevée, la peau ne demande qu’à remonter. Bien sûr, dans des cas extrêmes où le tissu élastique est détruit, la peau ne pourra remonter complètement. À part ces rares cas où l’on prend bien soin de prévenir la patiente, la peau aura un aspect tout à fait normal.

Oui, on porte une gaine pendant un mois environ. On doit la porter constamment durant les 72 premières heures; ensuite, durant le jour seulement. La liposuccion produit une sorte de blessure aux tissus sous-cutanés, qui doivent guérir. Or, il est bien connu qu’une blessure qui n’est pas « tenue » fait mal et guérit mal. Cela signifie qu’une légère compression procure confort et analgésie.

Tout dépend de l’importance et du site de la liposuccion. Si elle a été faite à l’abdomen, l’enflure persiste environ deux mois. Ailleurs, par exemple aux hanches ou à la culotte de cheval, les bienfaits sont visibles deux semaines après l’intervention.

Si l’emploi n’est pas physique, par exemple un travail de bureau, et que l’opération a lieu un vendredi, on pourra retourner au travail le lundi suivant. Si l’emploi requiert des efforts physiques, ou qu’il s’agit d’une grosse intervention comme celle du tronc, nous recommandons environ une semaine de repos.

Les incisions sont tellement petites (4mm) qu’on ne les voit pratiquement plus après quelques mois. De plus, on les fait autant que possible dans des endroits cachés, tels le poil pubien, l’ombilic, le pli sous-fessier.

Cela va selon l’expérience du liposculpteur. S’il laisse beaucoup de graisse par crainte de trop en enlever, cette graisse est de la « semence à engraissement». S’il ne laisse que le minimum nécessaire à un parfait résultat, l’adiposité ne peut revenir. Cela ne veut cependant pas dire qu’on ne peut pas corriger ou améliorer une liposuccion dont le résultat est imparfait.

Le Dr Georgio Fischer, l’inventeur de la liposuccion, a dit : « La liposculpture n’appartient à aucune spécialité chirurgicale. C’est un concept nouveau de chirurgie de la silhouette, qui utilise des instruments dont nous ne nous servons pas en chirurgie. »

Le Dr Pierre Fournier de Paris, lui-même chirurgien esthétique et un des pionniers de la liposuccion, se demande si elle n’appartient pas à un nouveau spécialiste, « le liposculpteur ». Le liposculpteur peut être tout médecin qui a l’entraînement requis et, surtout, des talents de sculpteur. Si votre choix s’arrête sur un liposculpteur qui a effectué des centaines d’interventions, voire des milliers, cela sera très sécurisant.Il y a quelques années, j’ai passé quelques jours aux États-Unis avec un chirurgien esthétique réputé, qui avait même travaillé trois ans au Brésil avec le très renommé Dr Yvo Pitanguy, chirurgien des stars et des têtes couronnées. Ce chirurgien américain m’a confié dans un moment d’intimité : « En liposuccion, je vomis sur mes résultats d’il y a deux ans! » D’où l’importance de choisir un liposculpteur qui en fait beaucoup, beaucoup, beaucoup. L’adage : « c’est en forgeant qu’on devient forgeron » n’a jamais été aussi vrai.

Oui, la liposuccion ne s’enseigne pour ainsi dire pas, elle s’apprend plutôt grâce à l’expérience. Pour être virtuose, un pianiste doit avoir du talent, certes, mais surtout beaucoup de pratique. C’est la même chose dans le cas d’un chirurgien liposculpteur; même s’il regardait travailler un chirurgien pendant un an, cela serait comparable à regarder jouer un pianiste pendant un an. Qu’aurait-il appris au juste? L’engageriez-vous comme musicien à votre mariage?

Seule la pratique le rendra en mesure de prévoir le résultat de chacun des gestes qu’il aura posés. De plus, il aura vu d’innombrables cas et saura mieux conseiller sa patiente selon son âge, la qualité de sa peau, ses attentes, les endroits de son corps à traiter, etc.

Non, des douches seulement pour la première semaine. Les bains chauds peuvent augmenter l’enflure et pourraient favoriser l’infection tant que les incisions ne sont pas bien fermées.

Tout dépend de chaque personne. Celles qui font facilement des bleus dans la vie courante en feront probablement. Pour les autres, tout dépend de l’importance de la liposuccion. Les bleus durent environ deux semaines. Grâce aux petites canules, on ne fait pas de points de suture pour fermer les incisions. Ainsi, le liquide responsable des bleus peut couler à l’extérieur, ce qui constitue un gros avantage.

Bien sûr qu’en chirurgie esthétique, on ne peut toujours obtenir la perfection du premier coup. Dans ce cas, une légère retouche de finition viendra corriger une légère asymétrie, un petit oubli ou une guérison qui ne s’est pas faite exactement comme on l’avait prévu. Les retouches sont quand même très peu fréquentes, je dirais moins de 5 %.

Elles sont très rares et la plupart du temps dues à l’inexpérience du médecin.

  • L’hématome ou le sérome. Il s’agit d’une légère accumulation de sang ou de liquide qui fait une petite élévation située juste sous la peau. Le traitement consiste à retirer ce liquide avec une aiguille. Ça ne laisse aucune trace.
  • Des bleus ou de l’enflure des régions opérées. C’est temporaire et sans conséquences.
  • Des douleurs, des démangeaisons ou de l’inconfort.

À noter que ces symptômes sont normaux après toute intervention chirurgicale et sont très supportables. Ils disparaissent rapidement et répondent bien aux analgésiques.

  • Des troubles de la sensibilité aux endroits opérés. Ils sont rares, peuvent durer quelques mois et finissent toujours par disparaître.
  • L’infection est très, très, très rare, car la xylocaïne dont on infiltre les tissus pour les geler exerce une action germicide. De plus, on donne toujours un antibiotique en prévention.
  • On peut n’avoir pas assez enlevé de graisse au goût de la patiente et du médecin. C’est très facile d’y retourner pour terminer le travail, mais il faut attendre six mois. Cela est quand même rare.
  • Enlever trop de graisse est plus compliqué, car il faut en réinjecter. Cette complication est rarissime pour un médecin expérimenté.
  • Des complications plus graves et extrêmement rares sont expliquées dans la documentation remise aux patients lors de la visite préliminaire.

En résumé, la liposuccion, comparée à toute autre chirurgie esthétique, comporte très peu de complications.

Tout d’abord, l’anesthésie locale agissant une douzaine d’heures, ce n’est que le lendemain matin qu’une sensation d’inconfort pourra apparaître. Certaines patientes la comparent à un coup de soleil, d’autres disent qu’elles sont « raquées ». D’autres par contre disent après seulement deux jours se sentir très bien sans prendre leurs analgésiques.

La question de la douleur est très peu soulevée, et les analgésiques sont très efficaces. J’ai noté que plus la patiente désirait ardemment cette liposuccion, moins ça faisait mal après. Il n’est pas rare d’avoir une sensation d’engourdissement aux régions liposculptées. Cela rentre toujours dans l’ordre après quelques semaines ou mois.

On peut prendre des marches dès le lendemain. Après une semaine, on pourra s’étirer et lever des poids légers.

L’aérobie pourra reprendre graduellement après deux semaines. Bien entendu, tout dépend de l’importance de la liposuccion. Il suffit de demeurer à l’écoute de son corps et d’agir en conséquence. Les efforts importants devraient être évités pendant 4 semaines.

Il n’y a aucune restriction à ce sujet. Bien sûr, vous n’aurez pas le cœur à ça les premiers jours, mais ensuite votre corps vous le dira.

Tout dépend des sites. On constate un résultat souvent spectaculaire immédiatement après la liposuccion, mais ensuite l’œdème (enflure) vient masquer ce résultat pendant quelques semaines. Tel que mentionné plus haut, l’abdomen est le plus long à guérir, demeurant dur pendant au moins deux mois. Par exemple, après deux semaines, il est possible d’aller en vacances au bord de la mer. À titre anecdotique, une danseuse nue, dont j’ai opéré les cuisses, a pu s’exécuter après seulement deux semaines. Il faut ajouter cependant que les résultats définitifs peuvent prendre jusqu’à 6 mois; c’est pourquoi on ne fait jamais de retouche avant cette période.

L’alcool est prohibé une semaine avant et trois jours après la liposuccion. Après ces trois jours, et pour la première semaine, un verre quotidiennement ne devrait pas causer de dommages. Pour le tabac, il retarde la guérison, c’est bien connu puisqu’il interfère avec la circulation sanguine. Donc, moins vous fumez, plus vite vous guérissez… Si c’est impossible d’arrêter complètement, il serait sage de ne pas dépasser 5 cigarettes par jour, les deux semaines précédant l’intervention.

Les endroits liposculptés ne pourront jamais reprendre leur volume antérieur, car les cellules graisseuses enlevées ne peuvent revenir. En effet, des cellules graisseuses, c’est comme les dents, ça ne repousse pas à l’âge adulte. Pour le reste du corps, le poids s’y répartira comme s’il n’y avait pas eu de liposuccion, pas plus et pas moins.

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