Quand la distribution de la graisse répond à une programmation génétique, la diète en viendra à bout très difficilement ou sera une lutte perpétuelle pour bien peu de résultats.
C’est comme si cette graisse était dans un compte d’épargne, solidement conservée au cas où, en comparaison d’un compte courant pour la graisse située ailleurs sur le corps. La personne a beau tenter de mincir au point d’en devenir décharnée, son double menton ou sa culotte de cheval refuseront de partir. C’est ici que la liposuccion apparaît comme la solution unique, définitive et performante. Cette graisse génétique pourra se retrouver aussi présente chez la mère et la grand-mère, en étant transmise de génération en génération. Un jour mon fils avait fait la rencontre d’une magnifique jeune femme, mais complexée à cause d’une culotte de cheval. Il me dit : Ce n’est pas grave, une petite lipo et le tour sera joué. » Il avait tout compris ! Et bien sûr il entendait par là que c’est son père qui ferait le travail et sans frais !
L’expérience du médecin liposculpteur est capitale, car souvent la patiente est obnubilée par un site qui la fait souffrir , alors que ce sont deux ou trois endroits qu’il faudrait régler en même temps, pour vraiment corriger la silhouette, et obtenir un résultat complet. C’est ici que le professionnel doit savoir conseiller sa patiente avec sagesse et honnêteté.